VIDÉO. La Normandie réunifiée est-elle plus forte pour promouvoir ses atouts ?
par Ouest France - La sélection de la rédaction
Les 20 et 27 juin 2021, les électeurs normands sont appelés aux urnes pour désigner celui ou celle qui prendra la tête du conseil régional. Les enjeux de ce scrutin sont importants dans une région réunifiée depuis le 1er janvier 2016 et qui a beaucoup d’atouts à faire valoir. Qu’en pensent les habitants ? Existe-t-il un « sentiment normand » aujourd’hui ?La région séduit plusieurs millions de touristes chaque année, grâce à ses paysages variés : les falaises d’Etretat, de chics stations balnéaires, des campagnes verdoyantes et des petits villages de charme. Reportage de Caen à Rouen, en passant par Giverny où le chef étoilé David Gallienne, fin connaisseur de la Normandie, a choisi de s’installer. Hervé Morin (Les Centristes-LR) sera candidat à sa réélection à la tête de la région Normandie. Il sera opposé à Nicolas Bay (Rassemblement national), à Mélanie Boulanger à la tête d’une liste d’union PS-pôle écologiste, à Laurent Bonnaterre (sans étiquette mais investi par la majorité présidentielle), à Sébastien Jumel (PCF-LFI-PRG) et à Pascal Le Manach (Lutte ouvrière). Nathalie Goulet (UDI) a renoncé. En revanche, Stéphanie Kerbarh (LREM) a déposé une liste sans l’investiture de son parti.
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