VIDÉO. L'institut Cordon Bleu Paris a lancé un concours « spécial JO »

par Ouest France

Prestigieuse école de cuisine fondée à Paris et présente partout dans le monde, le Cordon Bleu a invité des amateurs à imaginer des recettes olympiques. Une formation intensive au sein de l'Institut sera offert aux vainqueurs. Pour le chef Éric Briffard, depuis huit ans patron de l’institut Le Cordon Bleu Paris, une recette de cuisine « spécial Jeux Olympique », ce serait  « quelque chose teinté de diversité, de couleurs, et d’ouverture aux autres ». C’est dans cet état d’esprit qu’il visionne les vidéos soumises par les candidats au concours gastronomique organisé par cette école privée des arts culinaires, à l’occasion de la tenue dans la capitale des JO 2024. Une compétition mariant cuisine et sport, réservée aux amateurs. La règle du jeu est simple : « Les recettes, une salée et une sucrée, doivent être énergétiques, adaptées à la pratique sportive, et surtout pas sophistiquées », poursuit le chef, Les deux vainqueurs du premier prix auront droit chacun à une formation de prestige à l’institut Cordon Bleu Paris (d’une valeur totale d’environ 25 000 €).  Rayonnement de la cuisine françaiseUne quarantaine de binômes de tous les coins du monde a tenté sa chance : dix seront retenus pour la finale programmée à Paris, dans les locaux de l’école, le 28 mars 2024.« Nous ne pouvions pas manquer cette occasion d’organiser une compétition liant gastronomie et sport. Tant en raison du rayonnement de la cuisine française que de notre notoriété. » Créée en 1895 à Paris par Marthe Distel, une journaliste qui a voulu améliorer la formation des ménagères, Le Cordon Bleu, propriété aujourd’hui de la famille Cointreau, se décline désormais en 35 instituts présents sur quasiment les cinq continents. Ambassadeur de la « temple food »Avant de diriger cette école parisienne, Éric Briffard a pendant quatorze ans dirigé les cuisines de palaces parisiens les plus en vue, que sont le Plaza Athénée et le Georges V. Un chef capable de réaliser toutes les recettes d'Escoffier, mais aussi profondément inspiré par la cuisine japonaise, comme la « temple food » des bouddhistes, dont il est devenu récemment un ambassadeur officiel. Une cuisine végétarienne, « où l’on ne gaspille rien ». À l'image du potager aménagé sur le toit terrasse de l’école à Paris, avec vue sur la tour Eiffel :  « André Cointreau a souhaité réaliser une toiture végétalisée. On a développé l’idée, en cultivant toutes sortes de légumes, notam

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