Invité de la rédaction en février, Guillaume Canet s'est confié sur sa passion pour l'équitation. En plus de révéler des contacts avec France Télévision pour assurer le commentaire aux Jeux olympiques, il est revenu sur son admiration pour Nicolas Delmote et Thierry Rozier, ainsi que sur la difficulté d'être cavalier à haut niveau.
Lui-même cavalier, Guillaume Canet est un fervent admirateur du saut d'obstacle de haut niveau. L'acteur français, invité de Ouest-France le mois dernier, s'est confié sur sa passion pour l'équitation. Il a d'ailleurs confirmé que France Télévision l'avait contacté pour commenter l'épreuve lors des Jeux de Paris. Interrogé sur le cavalier français qu'il admirait le plus, l'acteur, notamment connu pour Les Petits Mouchoirs, a avancé deux noms : Nicolas Delmotte et Thierry Rozier. « Nicolas, c'est un cavalier que je trouve incroyable et extrêmement gentil. Thierry Rozier aussi. Son père a été médaillé d'or, son frère a été médaillé d'or. Thierry n'a pas encore été médaillé et je trouve qu'il le mérite vraiment. »« Les chevaux sont des éponges, ils ressentent tout »C'est justement cette admiration et son amitié pour Thierry Rozier qui ont offert à Guillaume Canet une anecdote touchante : « Lors de la médaille d'or de Philippe Rozier, je suis chez moi devant ma télé. J'appelle son frère, Thierry, qui est en larmes. Cela m'avait beaucoup ému parce que je savais qu'il était vraiment heureux pour son frère. Et en même temps, je sentais qu'il y avait au fond de lui ce sentiment de se dire qu'il était le seul de la famille à ne pas être médaillé d'or. Et malgré sa frustration, il était très heureux pour son frère. »Après s'être glissé dans la peau d'un cavalier professionnel lors du tournage de Jappeloup en 2013, Guillaume Canet a pu comprendre encore mieux ce qu'implique la profession à haut niveau : « L'équitation, c'est un sport qui vous demande beaucoup d'humilité et qui vous rappelle que si vous êtes à haut niveau, c'est grâce au cheval. C'est aussi un sport où le mental à une grande importance. Les chevaux sont des éponges, ils ressentent tout. Et si le cavalier n'est pas dans un esprit de gagne le jour de l'épreuve, le cheval le sent. »LIRE AUSSI. JO 2024. Équitation. Julien Epaillard : « Je vais emmener Dubaï du Cèdre à Paris »Côté pronostique pour les Jeux olympiques, l'acteur de 50 ans préfère ne pas trop se mouiller, expliquant qu'il n'avait pas trop suivi le circuit ces
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