VIDÉO. Gabriel Attal veut lever le « tabou du redoublement » : est-ce une si bonne idée po
par Ouest France - Wibbitz
Gabriel Attal veut lever le « tabou du redoublement » : est-ce une si bonne idée pour les élèves ?. Il « faut revoir » la « question , du tabou du redoublement », a lancé Gabriel Attal. . « Un élève qui entre en 6e sans savoir lire ou compter, , c’est quasiment de la maltraitance », a estimé le ministre de l’Éducation nationale au congrès des maires de France. Quid de la réalité du redoublement ces dernières années ? , Selon les chiffres communiqués par le ministère de l’Éducation, les élèves redoublent très peu. . À l’école, les taux de redoublement , sont restés faibles (moins de 3 %) entre 2014 et 2022. Au lycée les redoublements ont chuté dès 2006 , et ne dépassaient pas les 3,1 % dans les filières générales et technologiques en 2022. Dans un rapport du Cnesco publié en 2015 et intitulé « Lutter , contre les difficultés scolaires », les auteurs notaient que les classes les plus redoublées sont celles précédant une orientation. . Et en particulier la 3e au collège, , et la seconde avant de choisir sa filière au bac (ou ses spécialités aujourd’hui). . « Le redoublement a très souvent une visée de stratégie , familiale » et est « demandé par les élèves et leurs parents pour contrer une orientation non désirée ». . « L’usage du redoublement comme outil de remédiation scolaire , est, lui, plus marqué au primaire, notamment à l’entrée dans les apprentissages premiers », soulignaient les auteurs du rapport. Alors le redoublement, bonne ou mauvaise idée ?, Sceptiques, les syndicats optent pour la deuxième réponse.
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