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VIDÉO. Face aux violences gynécologiques, « patiente et médecin doivent faire un pas l'un vers l'autre »

par Ouest France

Cette semaine, se sont tenues, à Rennes, les 19e journées de chirurgie gynécologique et pelvienne où participaient 800 gynécologues. Et c'est la première fois, que dans ce type de congrès, une place importante a été faite sur la question des violences gynécologiques. Un fait de société qui dépasse les frontières de la santé. Parmi les intervenants, la Dr Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne et fondatrice, en 2016 en Seine-Saint-Denis, de la première maison pour les femmes victimes de violence. Pour la praticienne hospitalière, il faut apaiser le débat et surtout que patientes et médecins fassent un pas vers l'autre. Elle s'en explique.

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