VIDEO. Découvrez les expositions Normandie Impressioniste à Rouen
par Ouest France
On vous emmène au coeur des principales expositions proposées par le festival Normandie Impressionniste à Rouen en ce printemps 2024. L'événement a sorti le grand jeu avec David Hockney, Bob Wilson et James Whistler. Et on a aussi un vrai petit coup de coeur pour Oliver Beer, qui s'attaque à un monument : "Les Nymphéas" de Claude Monet. Rouen, "the place to be" de cette 5e édition du festival Normandie Impressionniste. Au coeur de la cité de Jeanne d'Arc se concentre la majorité des grandes expositions labellisées par l'événement normand, qui salue cette année, du 22 mars au 22 septembre 2024, les 150 ans du mouvement impressionniste.Au musée des beaux-arts, deux stars sont réunies pour le prix d'une, même si on rappelle que l'accès est gratuit : sa "majesté" David Hockney, le plus Normand des Britanniques, et sieur James Whistler, dépeint comme un dandy avec une grande personnalité et un grand "influenceur", d'où le titre de l'exposition , "Whistler, l'effet papillon".Les portraits d'Hockney ne feront peut-être pas date, mais ils ont le mérite de saluer son grand retour à la peinture. Quant à l'exposition Whistler, elle montre de très beaux portraits, raffinés, particulièrement ceux de femmes en blanc, et ouvre beaucoup de portes, jusqu'à Monet et Rothko.Coup de coeur : les Nymphéas de Monet par Oliver BeerA propos de portes, on vous encourage à pousser celle du Hangar 107, le long de la Seine, pour découvrir Oliver Beer, artiste britannique qui ose s'attaquer à une montagne : une version ultra moderne des "Nymphéas" de Claude Monet, au prix d'une technique très particulière à base d'ondes sonores.A la nuit tombée, la cathédrale de Rouen, si chère à Monet, s'illumine pour un spectacle franchement spectaculaire signé de l'Américain Bob Wilson, avec la voix d'Isabelle Huppert, une musique de Philip Glass et des poèmes de Maya Angelou.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Autres vidéos
Cette touriste cherche depuis des jours sa chienne perdue à l’aéroport Charles-de-Gaulle
24 novembre 2024 - leparisien