VIDÉO. Dans les Terres australes françaises, de rares occupants des bases, fans du Vendée Globe
par Ouest France
Rony Lemnos, conducteur d’engins sur la base de Port-aux-Français, est aussi mordu des terres australes que de la course au large. « Je venais en Vendée en vacances avec mes parents, c’est là que l’univers de la voile a commencé à m’intéresser. Après, j’ai eu la chance avec ma boîte de bosser pour des petites installations lors du dernier départ du Vendée Globe en 2020. Voir les imocas de près, ouah, c’était dingue ! C’est quand même la course la plus folle au monde. Je m’étais promis d’assister au départ de l’édition suivante. Sauf que le boulot m’a fait venir à Kerguelen et, du coup, je me retrouve en 2024 carrément sur la route de la course !» Lire aussi : Vendée Globe : le Marion Dufresne prêt à une rencontre dans les fureurs australesEvidemment, il mesure que de les voir débarquer sur son archipel des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) serait de mauvais augure mais il est au taquet « si y’a besoin d’aider à réparer, on se donnera à fond pour qu’ils puissent repartir. Ça pourrait être fou que même un petit boulon de Ker serve à les faire tenir en mer, non ? ».
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