par Ouest France
Dans une enquête lancée dans le cadre de leurs études, trois étudiantes d’Angers (Maine-et-Loire) se sont penchées sur les habitudes alimentaires des étudiants. Faute de moyens, beaucoup s’alimentent mal. Et sautent parfois des repas. À 21, 23 et 25 ans, Djina Jacques, Princesse Teillet et Isabelle Jegou du Laz sont étudiantes en première année de master innovation entreprise et société à l’Université catholique de l’Ouest (UCO) d’Angers (Maine-et-Loire).500 réponsesDans le cadre de leurs études, toutes les trois se sont interrogées sur les habitudes alimentaires des étudiants. Une enquête menée, et une problématique : « Dans quelle mesure le niveau de vie des étudiants angevins impacte-t-il leurs habitudes alimentaires ? »Après « plusieurs milliers de mails » envoyés aux étudiants d’Angers – ils sont 43 500 cette année, et représentent plus d’un habitant sur quatre –, les trois jeunes femmes ont recueilli plus de 500 réponses. Dont les deux tiers d’étudiantes.