VIDEO. Ce collectionneur doit changer l'heure de ses 366 pendules deux fois par an
par Ouest France - La sélection de la rédaction
À l'approche du passage à l'heure d'été, Werner Stechbarth, un retraité allemand de 76 ans, doit affronter une tâche ardue: régler les 366 pendules qui ornent les murs de son salon. C'est chaque année la même chose au printemps et à l'automne, pour Werner Stechbarth, un collectionneur d'horloges. Deux fois par an il doit reculer ou avancer l'heure de ses 366 pendules. Un vrai casse-tête.Il travaillait pour la compagnie aérienne Lufthansa. "Et quand on travaille à la Lufthansa, on a des billets très bon marché pour les vols, je n'en payais que 10%. Et bien sûr, j'ai voyagé dans le monde entier" A chaque voyage, avec sa mère, il a ramené une horloge ou pendule. Jusqu'à en posséder 366. "Là où j'ai travaillé, l'heure était bien sûr importante, il fallait être à l'heure. Mais maintenant que je suis à la retraite, je fais comme ma mère disait : profite de chaque jour comme si c'était le dernier. Et qu'il soit six ou sept heures, cela m'est égal. L'essentiel, c'est que je sois heureux et satisfait. Le soir, je m'assieds dans mon fauteuil, j'éteins la télévision et tout le reste, je regarde mes horloges, j'entends leur tic-tac et je pense qu'une nouvelle journée est terminée. Une journée dont j'ai de nouveau profité."
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