VIDÉO. Bilal Coulibaly revient sur sa première saison en NBA à l'approche des Jeux Olympiques
par Ouest France
Après une brillante première saison en NBA à Washington, Bilal Coulibaly, âgé de 19 ans, vise une place dans l'équipe de France pour les Jeux olympiques de Paris, ce qui constituerait une étape supplémentaire dans sa progression fulgurante. Sortant d'une première saison réussie avec les Washington Wizards en NBA, Bilal Coulibaly, âgé de 19 ans, ambitionne de décrocher une place dans l'équipe de France pour les Jeux olympiques de Paris. L'ailier des Wizards partage son parcours et ses ambitions : « J’ai toujours été quelqu'un qui voulait plus, plus, plus. Toujours à me dépasser. C'est comme ça que j'ai été élevé. Évidemment, on a perdu beaucoup de matchs. Mais je pense que, déjà, la deuxième partie de saison était vraiment beaucoup mieux [...] C'est des erreurs de jeunesse aussi. C'est des choses qu'on apprend et qu'on va retenir pour la saison prochaine. »Il explique ses débuts dans le basket : « J'ai tout de suite vu que c'était (le basket) un truc où je prenais du plaisir.[...] Au fur et à mesure des semaines, le dribble était déjà beaucoup mieux, j'arrivais à tirer, avant je tirais en cuillère, au bout de deux semaines, je tirais normalement. J'ai vraiment aimé. »Concernant son rêve de jouer en NBA, le numéro 0 des Wizards déclare : « Plus un rêve, ça a été un objectif vers 16 ans. Quand j'ai commence à avoir ma poussée de croissance, 16, 17 ans. J'ai commencé à jouer avec les équipes plus hautes, surclassées tout le temps. [...] Arrivé en pro, quand je voyais que j'arrivais à faire mes matches, j'étais vraiment à l'aise sur le terrain. Quand je me faisais confiance, je me disais qu'il allait falloir aller en NBA. »Le jeune talent de la franchise de Washington pointe également les différences entre le basket américain et européen. « Le jeu est beaucoup plus rapide. Dès que tu es ouvert, tu peux tirer. En Europe, c'est plus un jeu basé sur les systèmes, sur la patience, etc », déclare-t-il au micro de l'AFP.
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