VIDÉO. Au Mans, l’abattage des 200 arbres a commencé avenue Bollée

par Le Maine Libre

Le chantier des trois chronolignes de bus au Mans passe par l’abattage de 200 arbres avenue Bollée. L’opération a été lancée ce mardi 19 novembre 2024. C’était la question depuis le lancement fin septembre 2024 du chantier des chonolignes de bus au Mans : quand allaient être abattus les 200 arbres de l’avenue Bollée ? L’opération a débuté ce mardi 19 novembre 2024.Des panneaux « interdiction de stationner » étaient dispatchés depuis quelques semaines mais dernièrement, des stickers avec la mention « À partir du 18 - 8 : 00» avaient été ajoutés, donnant un indice sur le début de ces abattages. De même, une information sur papier a été distribuée aux riverains indiquant une interdiction de stationnement sur l'avenue du 18 au 22 novembre, appelant également les habitants à la prudence "lors de l'ouverture des fenêtres et portes donnant sur la rue", évoquant par ailleurs une "phase sensible des travaux". "À l'aide !", "Arrête !"Lundi, des agents avaient commencé par dévier une grande partie de la voie de circulation de droite en direction du centre-ville vers le milieu. Et les bordures de plusieurs arbres ont été détruites. Ce mardi matin, les nacelles sont arrivées peu après 8h30 et se sont positionnées sur plusieurs portions de voiries délimitées par des barrières de chantier. Portions qui étaient déjà surveillées et sécurisées par des agents municipaux et privés afin d’empêcher l’accès des piétons. Les arbres ne sont pas abattus directement. L'élagueur commence par couper les petites ramifications avant de s'attaquer aux plus grosses branches et de diminuer l'arbre par morceaux.À côté du Carrefour city, un des élagueurs a commencé son travail peu avant 9 heures, sous les cris d’un militant écologiste qui hurlait « À l’aide ! », « Arrête ! » L’abattage de ces 200 arbres est déploré par des opposants. Le Groupement national de surveillance des arbres (GNSA), des riverains et l’association Patrimoine environnement menacé (PEM) avaient déposé un recours en référé suspensif devant le tribunal administratif de Nantes contre l’autorisation environnementale obtenue par la métropole. Recours étudié le 22 octobre ; la réponse est tombée le 30 octobre : le juge

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