Après l’affaire Olivier Duhamel, la parole sur l’inceste pourrait bien se libérer. Moins de 10% des viols font l’objet de plaintes. En cause: la prescription des faits. Comment oser parler – des années plus tard – quand on sait que son agresseur ne sera probablement pas puni ? Voici le témoignage d’une femme qui a choisi de briser l’omerta.
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