C'est devenu un gimmick. Depuis plusieurs semaines, les députés UMP se relaient à l'Assemblée nationale pour demander la démission de Christiane Taubira en arguant d'une lutte efficace contre le terrorisme. Ce mercredi, c'est Guillaume Larrivé qui s'y est collé. Manuel Valls a donc dû prendre la défense une nouvelle fois de sa ministre de la Justice. Le Premier ministre a dénoncé un "mensonge à des fins politiques" formulé par l'UMP au sujet des critiques faites contre la réforme pénale de Christiane Taubira. "Plus sur ce sujet-là vous tirez la corde et plus vous allez connaître les déconvenues que vous avez connues il y a une semaine dans le Doubs, il faut être rigoureux!", a lancé le Premier ministre à l'opposition.
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