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Valérie Pécresse : "Je dois malheureusement constater que les régions sont tenues totalement à l'écart de la stratégie vaccinale."

par franceinter

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Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, est l'invitée du Grand entretien de France Inter.Plus d'infos : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-07-decembre-2020

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Valérie Pécresse : "Je ne suis pas hostile à ce que des aéroports soient gérés par des sociétés privées... Mais il faut des garde-fous : la région siégera au conseil d'administration."
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Valérie Pécresse sur le soutien de Sarkozy à Orban : "Aujourd'hui, il faut avoir une vision lucide sur les dérives du gouvernement Orban, notamment en termes de libertés publiques"
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Valérie Pécresse : "Pour maintenir les retraites, il va falloir travailler à terme plus longtemps"
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Valérie Pécresse : "Il y a eu des contre-vérités dites devant la commission : c'est factuel, ça n'est pas politique, ça s'appelle un contre-pouvoir"
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Valérie Pécresse : "J'ai été très satisfaite que le préfet de police de Paris ne décide pas de fermer les restaurants à 23h, le remède aurait été pire que le mal (...) Il faut trouver un chemin entre la protection de la santé et le retour à l'activité."
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Régionales en Île-de-France : "On m'annonce une demi-douzaine de ministres sur cette campagne. Je ne savais pas qu'il y avait autant de ministres du Temps libre au gouvernement" dit Valérie Pécresse
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"On aura besoin que tous les Franciliens aillent se faire tester au lendemain des fêtes", estime Valérie Pécresse. "Il faut éviter à tout prix une troisième vague, l'effet 'Thanksgiving'."
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Manifestations contre la loi "sécurité globale" : "Je suis lassée, épuisée, de voir toutes ces violences. Et je me demande s'il n'y a pas là un besoin de renforcer les sanctions judicaires", estime Valérie Pécresse
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Valérie Pécresse : "Le 'en même temps' en matière de régalien, ça ne marche pas. (...) le chef de l’État doit soutenir indéfectiblement les forces de l’ordre."
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Valérie Pécresse : "La région, comme d'autres, a décidé de fournir des masques dans les lycées : je ne veux pas qu'il y ait le moindre prétexte, la moindre inquiétude, qui fasse que les élèves ne reviennent pas. Il faut qu'ils reviennent en classe."
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Valérie Pécresse : "Il faut que l'on travaille à essayer, d'une manière ou d'une autre, de pouvoir restreindre le droit de participer à une manifestation quand on est connu et condamné pour avoir été ultra-violent."
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Valérie Pécresse : "Au tribunal de Bobigny, les juges ont fait une conférence de presse pour dire qu'ils avaient l'impression de prononcer des peines fictives. Ce sont des juges qui condamnent, mais la condamnation n'est pas exécutée."
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Loi "sécurité globale" : "L'article 24 est mort à partir du moment où on a laissé entendre que cet article allait limiter la liberté de la presse, il était voué à l’échec", juge Valérie Pécresse
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Valérie Pécresse : "La généralisation de la caméra-piéton protégera nos policiers contre tout soupçon et permettra de vérifier qu'ils remplissent leurs missions dans de bonnes conditions de déontologie."
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Valérie Pécresse : "Le fait que l'Île-de-France toute entière soit classée rouge doit nous interpeller collectivement, et nous appeler tous à une forte responsabilité individuelle. On doit tous se serrer les coudes."
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Valérie Pécresse : "Île-de-France mobilités a proposé que sur les pertes de recettes des voyageurs, l'État nous concède une avance remboursable. Le passe Navigo n'augmentera pas pour payer une dette Covid."
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Valérie Pécresse : "Dans les territoires ou la promesse républicaine n'est pas tenue, on a un terreau fertile pour tous ceux qui prêchent la haine de la France. Pour ça, il faut une stratégie urbaine."
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Valérie Pécresse : "J'entends qu'on nomme des sous-préfets à la relance. Il me semble qu'il y a, dans toutes les régions, des conseillers régionaux dont la mission, c'est le développement économique."
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Valérie Pécresse : "Au tribunal de Bobigny, les juges ont fait une conférence de presse pour dire qu'ils avaient l'impression de prononcer des peines fictives (...) Il faut des sanctions qui emmerdent le délinquant plus qu'elles n'emmerdent la société."
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Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, aurait pu être psychiatre, comme son grand-père : "Ce qu'il m'a appris, c'est ce que la faiblesse, c'était toujours passager. La dépression, on en sort toujours."

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21 novembre 2024 - leparisien

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