Clément Méric, militant d'extrême gauche et étudiant à Sciences-Po, a été déclaré dans un état de mort cérébrale après sa violente agression par un groupuscule qui appartiendrait à l'extrême droite.L'affaire prend une tournure politique. Depuis ce matin, les réactions se succèdent : de la gauche radicale à l'extrême droite, la condamnation est unanime.
La condamnation est d'ailleurs venue du plus haut sommet de l'Etat. Alors que François Hollande entame une visite d'Etat de trois jours au Japon, le président de la Répulique a condamné avec la plus grande fermeté cette agression. Il a laissé entendre que les auteurs appartiendraient à un groupuscule d'extrême droite :"le groupe qui aurait agressé le jeune Clément, nous pensons qu'il est effectivement d'extrême droite". Un peu plus tôt dans la journée, Manuel Valls s'est déplacé sur les lieux du drame et a dénoncé une violence qui "porte la marque de l'extrême droite".
Autre réaction politique, même son de cloche. A l'UMP aussi, la co
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