Un an après l'enlèvement de plus de 200 lycéennes, le Nigeria reste mobilisé
par euronews-fr
L’organisation Bring Back Our Girls, en français “Ramenez-nous nos filles”, a organisé une série d‘événements à Abuja, la capitale. Pas question pour ces militants d’oublier les jeunes filles qui avaient un temps ému la classe politique, et même quelques célébrités. Ces jeunes filles, chrétiennes pour la plupart, auraient été vendues en esclaves ou mariées de force selon Boko Haram, un groupe islamiste dont le nom signifie “L‘éducation occidentale est un pêché”. La campagne menée par ces djihadistes a fait des milliers de morts et un million et demi de déplacés ces six dernières années.
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