Face au défi migratoire que traverse l’Europe, la vice-présidente du parti Les Républicains (LR) multiplie les interventions médiatiques pour détailler l’ensemble de ses propositions. N'hésitant pas à dévoiler son art de la métaphore, la députée de l'Essonne déclare à qui veut l’entendre que «quand quelqu'un se noie, on ne lui demande pas ses papiers, on lui tend la main.» Seul souci : depuis une semaine, ses propos se répètent, parfois à la virgule près, et ce dans chaque interview. «Ellis Island», main tendue ou encore migrants économiques, voici trois éléments de langage que Nathalie Kosciusko-Morizet énonce sur chaque plateau.
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