Ne pas avoir à faire de choix. Voilà ce que demande, dans une tribune, l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP).Pour le porte-parole de l'association des médecins urgentistes de France, le tri a déjà commencé avec les déprogrammations. Le report d'opérations, estimé aujourd'hui à plus de 40%, pourrait doubler dans les prochaines semaines, dans le but de libérer des lits dans les services de réanimation et ne pas avoir à faire des choix. Selon l'AP-HP, les patients hospitalisés dans les services conventionnels ou en réanimation sont désormais plus nombreux que lors du pic de la deuxième vague.
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