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Thierry Pech : "je n'ai jamais pensé que ce pays était irréformable. Il y a aujourd'hui une accélération des réformes qui est lié au changement des conditions politiques depuis 2017"

par franceculture

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L'invité des Matins de France Culture.Comprendre le monde c'est déjà le transformer(07h40 - 08h00 - 19 Février 2018)Retrouvez tous les invités de Guillaume Erner sur www.franceculture.fr

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M.-A. Cohendet : "le problème sous la Vème République, c'est l'hyperpuissance présidentielle. On pouvait espérer que cette réforme constitutionnelle limite cette puissance; ce n'est pas le cas"
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Serge Papin : "on vend trop cher les produits issus des filières agricoles pour vendre pas cher des produits du marketing"
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Jean-François Corty : "le blocus du Yémen, d'un point de vue politique et militaire n'a pas montré d'effets, les houthis restent actifs. En revanche il a montré un effet sur les civils en dégradant leurs conditions de vie"
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Caroline Galactéros-Luchtenberg
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Didier Migaud : "nous constatons que la situation budgétaire et financière de la France s'améliore, mais nous avons une situation qui est plus dégradée que la quasi totalité des pays de l'Union européenne et en particulier de la zone euro"
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Pierre Rosanvallon: "Le complotisme prétend donner une intelligence du monde et une capacité d'agir sur les choses. C'est pour cela que psychologiquement et politiquement il joue un très grand rôle"
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Christophe Prochasson : "dans l'idée de commémoration, qu'on le veuille ou non, il y a une dimension de valeur, de choix. Le travail commémoratif n'est pas du même ordre que le travail scientifique des historiens"
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Jean-François Corty : "la guerre du Yémen nous concerne : nous avons des forces militaires engagées, du conseil auprès de la coalition menée par l'Arabie Saoudite et les Emirats, et nous sommes aussi impliqués dans la vente d'armes"
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Olivier Dard : "commémorer signifie commémorer, souhaiter, mais aussi rappeler, remémorer"
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Didier Migaud : "maîtriser les dépenses de personnels, c'est poser un certain nombre de questions en termes d'effectifs, de rémunérations, de durée du travail. La Cour des Comptes met sur la table les éléments de maîtrise"
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Xavier Timbeau : "derrière les inégalités de patrimoine, il y a en fait de l'entre-soi et de la ségrégation géographique"
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Stephen Smith : "On ne peut plus parler comme si l'Europe était au centre du monde. On ne peut pas dire : l'Afrique est jeune, l'Europe est vieille, la péréquation va se faire."
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Pierre Rosanvallon : "Macron est la version la plus élégante du populisme, mais d'une certaine façon il y participe, il est à la tête d'un mouvement qui conjugue une certaine horizontalité et une verticalité très forte"
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Leïla de Comarmond : "La SNCF possède un fort bastion syndical. Si Macron réussit à vaincre ce bastion, cela lui ouvre un boulevard pour ses réformes à venir"
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Mounir Mahjoubi : "Aujourd'hui, quand vous parlez d'internet, vous parlez de tous les citoyens."
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Patrick Artus : "la philosophie des cryptomonnaies c'est : les banques centrales ont fait n'importe quoi, on veut des monnaies privées qui ne sont pas manipulées par les Etats. Malheureusement, ça ne marche pas"
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Christophe Ramaux : "Je suis pour une économie républicaine, cela suppose des règles pour sortir des logiques de dumping fiscal et de dumping social car quand la concurrence est libre, elle est toujours faussée"
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Olivier Galland : "On voit un lien fort entre la socialisation à la violence ordinaire et l'acceptation de la violence religieuse."
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Marie Dosé : "je ne pense pas qu'on rééquilibre une procédure pénale en fondant son procédé par "balancer un porc". Balancer n'a rien à voir avec la justice"
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Aurélien Taché : "On a vraiment du mal sur la scène européenne à faire émerger une solution qui permettrait de répartir ces réfugiés qui arrivent en Europe."

Météo (Bulletin du 22/12/2024)

22 décembre 2024 - CNEWS

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