Thierry Derez (Covéa) : «Le côté rédhibitoire entre hommes politiques et entreprises est très français»

par Lopinionfr

La campagne présidentielle a-t-elle un impact sur l’activité d’un des premiers groupes français qu’est Covéa, alors que les taux d’intérêt se tendent aujourd’hui ? Est-ce que son président est inquiet ? « Je suis inquiet raisonnablement », répond Thierry Derez. « La campagne a un impact mesuré mais quand nous sommes sur des taux proches de zéro voire négatifs, nous ne pouvons pas faire durablement notre métier », nuance-t-il toutefois.

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