Syrie. Quinze morts dans un double attentat à la voiture piégée
par Kangai News
Les deux charges ont explosé successivement dans la ville d'Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie. De nombreux membres de la défense civile dépêchés sur place après la première explosion figurent parmi les victimes. Deux attentats à la voiture piégée ont fait au moins quinze morts et de nombreux blessés ce lundi 18 février dans une rue animée d'Idlib, ville dominée par l'organisation djihadiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS), dans le nord-ouest de la Syrie, rapportent les services de secours. Les deux charges ont explosé dans le même secteur à quelques minutes d'intervalle. De nombreux membres de la défense civile dépêchés sur place après la première explosion figurent parmi les victimes. Les deux charges ont explosé successivement dans la ville d'Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie. De nombreux membres de la défense civile dépêchés sur place après la première explosion figurent parmi les victimes. Deux attentats à la voiture piégée ont fait au moins quinze morts et de nombreux blessés ce lundi 18 février dans une rue animée d'Idlib, ville dominée par l'organisation djihadiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS), dans le nord-ouest de la Syrie, rapportent les services de secours. PUBLICITÉ inRead invented by Teads Les deux charges ont explosé dans le même secteur à quelques minutes d'intervalle. De nombreux membres de la défense civile dépêchés sur place après la première explosion figurent parmi les victimes. Deux attentats à la voiture piégée ont fait au moins quinze morts et de nombreux blessés ce lundi 18 février dans une rue animée d'Idlib. Deux attentats à la voiture piégée ont fait au moins quinze morts et de nombreux blessés ce lundi 18 février dans une rue animée d'Idlib. | INFOGRAPHIE / OUEST-FRANCE Plusieurs attentats commis dans la région Les djihadistes d'Hayat Tahrir al Cham, une coalition dominée par l'ex-Front al Nosra, contrôlent cette enclave où ils se sont imposés aux dépens des rebelles soutenus par la Turquie. Ils accusent des agents du gouvernement syrien ou des membres du groupe État islamique (EI) d'être responsables de certains des attentats commis ces derniers mois dans la région. Des centaines de suspects ont été arrêtés. Jeudi 14 février, le président russe Vladimir Poutine a jugé intolérable la présence de « groupes terroristes » dans la province d'Idlib.
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