Des déclarations toujours plus fermes, des avions britanniques envoyés à Chypre, une réunion "sur la paix" entre la Russie et les Etats-Unis ajournée... de nombreux signes laissent présager une intervention imminente des pays occidentaux et leurs alliés en Syrie, son chef d'Etat Bachar al-Assad étant accusé d'avoir utilisé des armes chimiques contre sa population.
La tension peut-elle encore retomber ? L'attaque présumée au gaz chimique du 21 août est-elle un simple prétexte ? Est-il légitime de dresser un parallèle entre la situation actuelle et les actions passées en Libye et en Irak ? Le point de vue d'Alain Frachon, directeur éditorial du "Monde".
Images : Donald Walther / Le Monde.fr
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