Pour son deuxième film après Un poison violent, Katell Quillévéré dresse le portait d'un famille qui, petit à petit, se délite pour mieux se reconstruire. Par son scénario à trous et son style hybride, entre naturalisme et cavale amoureuse, le film en séduit certains autant qu'il en perd d'autres. Pourtant, pour peu que l'on arrive à suivre sa trajectoire chaotique, Suzanne touche le spectateur en plein cœur. Images : Olivier Clairouin / Le Monde.fr
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