A Hawaï, la fin d’une simulation de vie sur Mars traduit la montée en puissance de la volonté de se lancer vers la planète rouge aux alentours de 2030.
«Une mission sur mars est réaliste dans un futur proche», a estimé dimanche le français Cyprien Verseux, biologiste, l’un des six « isolés volontaires » à la fin d’une nouvelle simulation de la vie sur Mars (mission HI-SEAS 4) à la surface d’un volcan éteint à Hawaï. «Les problèmes techniques et psychologiques peuvent être surmontés», selon lui.
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