St-Jean-Brévelay (56). Parole de pompier après le drame de Bignan
par Letelegramme
La lueur des flammes, très loin. L'espoir irrépressible que les habitants ne sont pas dans la maison. La tragédie qu'il faut affronter. Les corps qu'il faut sortir, en sachant que c'est essentiel pour le deuil de ceux qui restent. Puis le travail "normal" qui reprend aussitôt. Et le bip qui sonne : "feu d'habitation". En 24 h, les pompiers volontaires de Saint-Jean-Brévelay ont vécu le drame de Bignan et sont intervenus sur une maison quasi identique à Saint-Allouestre. Leur chef de centre témoigne.Les images de Catherine Lozac'h
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