Service national universel: «une période obligatoire d’un mois», détaille Juliette Méadel
par Lopinionfr
L’actualité de la matinée est évidemment du côté sportif, puisque mardi soir l’Equipe de France de football s’est qualifiée pour la finale de la Coupe du monde en battant la Belgique. Invitée de Jean-Pierre Elkabbach sur CNEWS, Marine Le Pen se réjouit que «[px_nbsp:nbsp]chacun participe à la liesse populaire[px_nbsp:nbsp]». De son côté, Gérard Longuet se «[px_nbsp:nbsp]réjouit[px_nbsp:nbsp]» de voir que «[px_nbsp:nbsp]Didier Deschamps a réussi à instaurer un esprit d’équipe à de très fortes personnalités[px_nbsp:nbsp]». Côté politique, la présidente du Rassemblement national s’inquiète de la situation de son parti, alors que la justice tarde à rendre une décision dans l’affaire des financements européens. «[px_nbsp:nbsp]Le RN, en l’état, fin août, ne paye pas les salaires. Il est donc en cessation de paiement, il va donc disparaître. Donc c’est une condamnation à mort, à titre provisoire[px_nbsp:nbsp]», s’inquiète Marine Le Pen. «[px_nbsp:nbsp]Quand on vous tranche la tête à titre provisoire, on se pose la question de savoir qui va vous la rattacher sur le corps après[px_nbsp:nbsp]». Juliette Méadel, ancienne Secrétaire d’Etat sous François Hollande, a de son côté détaillé le service national universel sur Sud Radio. Elle rappelle qu’il y aura «[px_nbsp:nbsp]une période obligatoire d’un mois et une période facultative de 5 à 6 mois[px_nbsp:nbsp]». «[px_nbsp:nbsp]On va proposer d’aller passer une semaine, 15 jours, en internat ou en hébergement. On va apprendre les gestes qui sauvent, on va apprendre ce que c’est l’engagement dans une association[px_nbsp:nbsp]», explique l’ancienne porte-parole du Parti socialiste. Dans un autre registre, la députée de la Somme Barbara Pompili était l’invitée de Politique matin sur LCP. Elle a souhaité détailler le plan pour la biodiversité. «[px_nbsp:nbsp]On se rend compte que contrairement au climat, où là il y a vraiment une prise de conscience des populations, sur la biodiversité il y a encore le sentiment que ce n’est pas si grave malgré des indicateurs qui sont terribles[px_nbsp:nbsp]», regrette la députée qui rappelle que «[px_nbsp:nbsp]40 % des espèces vont disparaître d’ici très peu de temps[px_nbsp:nbsp]».
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