Le président américain Donald Trump a justifié ce retrait en affirmant que le groupe Etat islamique était "vaincu" sur le terrain.Pourtant, ses alliés européens affirment le contraire, qu'en est-il réellement ?Peut-on parler d'une victoire pour Moscou et Téhéran qui pourraient renforcer leur influence en Syrie suite à ce retrait comme l'affirment certains observateurs?Hasni Abidi, directeur du centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen (CERMAM), répond aux questions d'Amidou à Libreville.
Vidéo suivante dans 5 secondes
Partager
#URL
Signaler une vidéo illicite
Vous allez être redirigé vers la plateforme Dailymotion sur laquelle le contenu est hébergé afin de pouvoir le signaler