Le procès de l'affaire des "mariages chinois" de Tours avait été interrompu avant son ouverture le 7 avril dernier par le suicide du sénateur socialiste Jean Germain. La procédure reprend ce mardi avec l'ombre de la mort de l'ancien maire qui n'a pas supporté d'être convoqué. "C'est un gâchis énorme d'avoir perdu Jean Germain dans ces conditions. La moindre des choses est que son honneur, son intégrité soient reconnus", a estimé Alain Dayan, proche de l'accusé.
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