Alors que le gouvernement s’apprête, lundi 26 février, à lever le voile sur la réforme de la SNCF, Nicolas Bay met en garde contre un «passage en force». Invité à réagir sur France 2 à la possible utilisation d’ordonnances pour mener à bien la difficile réforme, le vice-président du Front national explique : «Cela part d’une logique qui consiste à confisquer, à détruire, le débat démocratique». Pour Nicolas Bay, le gouvernement ne fait que «suivre les injonctions de la Commission européenne».
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