Réactions politiques après l'attaque de Nice : des mesures et des questions

par Libération

Au lendemain de l'attaque d'un camion sur la foule à Nice, l'émotion est vive dans la classe politique française. Alors qu'un prolongement de trois mois de l'état d'urgence a été décidé par François Hollande, qui a également décrété trois jours de deuil national, Christian Estrosi dit «avoir une colère profonde en [lui]» : «Après Charlie Hebdo, on a oublié et on a eu le Bataclan. Après le Bataclan, on a oublié et on a eu Bruxelles. Après Bruxelles, on a oublié et on a Nice. Alors il y a des questions auxquelles il faudra répondre.» Et Henri Guaino de lui répondre : «Il faut quand même se garder - je le dis aussi à mes propres amis - de penser qu'il existe une recette miracle pour qu'il n'y ait plus aucun attentat et plus aucune victime.»

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