Rachida Dati ne veut pas d'une primaire «fratricide»
par Libération
La députée européenne UMP redoute la primaire qui se déroulera les 20 et 27 novembre 2017. Elle a déclaré vendredi sur BFMTV qu'il fallait veiller à ce que celle-ci «ne soit pas fratricide», comme ce fût le cas avec Jean-François Copé et François Fillon en 2012, et «ne soit pas tactique». Si le candidat désigné est élu par défaut en 2017, la France sera «ingouvernable» ce qui sera «terrible pour la France et les Français».
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