Quand l’antisémitisme gangrène le rap
par lepointabonnes
La comparaison, aussi absurde que retentissante, est devenue célèbre. « Je préfère être accusé d'antisémitisme que de viol comme Gérald Darmanin », assure le rappeur Freeze Corleone dans son morceau « Shakvat ». De fait, les paroles de l'« artiste » donnent du crédit à ce soupçon : fascination pour le nazisme (« J'arrive déterminé comme Adolf dans les années 30 »), indifférence au martyre juif au nom de la concurrence des mémoires (« Gaddam, S/O [dédicace au] Congo/Tous les jours RAF [rien à foutre] de la Shoah »)…https://www.lepoint.fr/societe/quand-l-antisemitisme-gangrene-le-rap-28-10-2023-2541107_23.phpRetrouvez-nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/- Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/- Twitter : https://twitter.com/LePoint- Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr- Tik Tok : https://www.tiktok.com/@lepointfr- LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-point/posts/- www.lepoint.fr
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