Quand Hollande égratigne le nom de la ville "martyre" de Kobané
par BFMTV
François Hollande a estimé mardi que la Turquie devait "absolument ouvrir" sa frontière avec la Syrie pour permettre d'aider les défenseurs kurdes de la ville syrienne frontalière de Kobané contre l'assaut des jihadistes du groupe Etat islamique (EI). Mais le Président s'est emmêlé les pinceaux, en parlant de "Konabé" au lieu de "Kobané".
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