Alain Juppé pensait avoir fait le plus dur en imposant le principe d'une primaire ouverte. Mais le « conflit dur » promis à Nicolas Sarkozy si tel n'était pas le cas pourrait finalement avoir lieu. Le président des Républicains douterait de la possibilité d'installer 10.000 bureaux de vote comme l'a pourtant ratifié le parti en Bureau politique. Aux yeux d'Édouard Philippe, toujours aussi vigilant sur la primaire, c'est surtout le signe que Nicolas Sarkozy a visiblement revu ses ambitions à la baisse.
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