"Je pense qu'il y a eu une volonté très nette de sortir Nicolas Sarkozy du jeu, en considérant probablement qu'il a exercé le pouvoir et qu'ils [les électeurs, ndlr] voulaient passer à autre chose, avec un autre projet politique, et une autre personnalité", explique Virginie Calmels au sujet du premier tour de la primaire à droite. Aussi, "les critiques et toute la campagne de premier tour menée contre le leader apparent des sondages qu'était Alain Juppé, ont porté", ajoute-t-elle.
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