Abdelaziz Bouteflika est candidat à sa propre succession. Le président sortant a déposé hier, en personne, sa candidature au Conseil constitutionnel pour la présidentielle du 17 avril. Mais en Algérie, des voix s'élèvent pour critiquer un président qui ne serait plus capable s'assurer ses fonctions et dénoncer un scrutin joué d'avance. Cette élection est-elle crédible ? Quel avenir pour l'Algérie ?
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