Dans une courte vidéo publiée jeudi 15 décembre sur Facebook, le président syrien Bachar Al-Assad a annoncé la reprise par l’armée et ses alliés de la ville d’Alep, tombée depuis 2012 aux mains de l’organisation Etat islamique.
Pourquoi la situation a-t-elle fini par basculer au bénéfice du régime ? Pourquoi peut-on parler d’une « victoire russe » ? Et à quoi peut-on s’attendre pour la suite ? Elements de réponse avec Gilles Dorronsoro, professeur de sciences politiques à l’université Paris-Sorbonne et co-auteur de l’ouvrage Syrie : anatomie d’une guerre civile, aux éditions du CNRS.
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