Pour la droite, Bachar al-Assad n'est pas l'ennemi numéro un
par Libération
Pour le président de la République, le départ de Bachar al-Assad est un préalable à toutes discussions sur la lutte à mener contre Daech. En réaffirmant cette position lors du conseil des Nations unies lundi, François Hollande est allé contre l'opinion de plusieurs membres de l'opposition. Et ils n'hésitent pas à le faire savoir sur les matinales des télés et radios.
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