Pleucadeuc. Le dégoût des salariés de Doux
par Letelegramme
C'est le "dégoût" et le "dépit" qui prédominait en début d'après-midi à la sortie de l'usine Doux de Pleucadeuc. Les 146 salariés qui avait survécu au plan social de septembre ont appris hier que, faute de repreneur, le site fermerait ses porte fin mai. Le témoignage du délégué CGT Michel Hamonet.Les images de Mathieu Pélicart
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