Selon les informations de BFMTV, deux des quatre fonctionnaires ont fini, lors de leur garde à vue, par reconnaître des violences et ont permis d'en savoir un peu plus sur les faits qui se sont déroulés cette nuit-là. Mais à l'exception de cette version apportée par les deux agents, "aucun policier ne souhaite collaborer à l'enquête, allant même jusqu'à avoir du mal à s'identifier sur les vidéos", écrivent les enquêteurs de l'IGPN.
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