Le compte à rebours est lancé : plus que quelques semaines avant que bon nombre d’activités soient conditionnées au pass sanitaire.
Comme les adultes, les jeunes de 12-17 ans sont concernés.
Or, seuls 17% de ces adolescents sont déjà vaccinés puisque la vaccination n’a été possible qu’à partir du 15 juin pour cette tranche d’âge.
Dès le lendemain matin des annonces faites par Emmanuel Macron, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire s’est dit favorable à une "souplesse" et à une "compréhension dans la mise en place des mesures concernant les jeunes".
"Étant moi-même, père de quatre enfants, je sais à quel point l'organisation des vacances d'été, c'est extrêmement compliqué. Les horaires de train, les déplacements, l'accès au restaurant, si on veut se faire un cinéma. Soyons souples et compréhensifs pour les adolescents, les enfants de plus de 12 ans, Bruno Le Maire, Sur France Info.
Soyons souples et compréhensifs pour les adolescents, les enfants de plus de 12 ans." Bruno Le Maire, Sur France Info.
Au-delà de l’ouverture tardive de la vaccination pour ces jeunes, il faut compter quasiment un mois et demi de délai minimal entre la première dose et la vaccination effective.
L’Élysée a donc confirmé qu’il y aurait une certaine tolérance pour ces jeunes.
Mais le pass sanitaire n’inclut pas que la vaccination.
Le test PCR reste toujours possible, bien qu’il deviendra payant à partir de cet automne.
Dans la poursuite de la stratégie vaccinale, Emmanuel Macron a également annoncé l’ouverture de campagnes de vaccination dans les établissements scolaires dès la rentrée pour les collégiens, lycéens et étudiants.
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