"On ne se sent plus en sécurité": le quotidien d'un assigné à résidence depuis novembre
par BFMTV
L'état d'urgence post-attentats du 13 novembre pourrait être prolongé une troisième fois; les députés en débattront le 19 mai prochain. Une situation parfois difficile à vivre pour certains, assignés à résidence dans le cadre de cet état d'urgence. C'est le cas d'Anis. Depuis novembre, ce père de famille ne peut plus sortir de chez lui entre 20 heures et 6 heures, et doit pointer deux fois par jour au commissariat. Des contraintes difficiles à concilier avec son travail.
Vidéo suivante dans 5 secondes