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Exclusion RMC Sport - L'interview était prévue pour RMC, pour se lever. Mais Almike Moussa N'Daye, le joueur du Hyères FC blessé par Éric Bailly lors des 32e finales du Coupé de France, a préféré abandonner une interview enregistrée,Parce qu'il ressent toujours "de la douleur lors de la parole". L'échange a donc eu lieu par écrit. La mémoire de la blessure est encore vivante, mais le milieu de terrain, qui prétend avoir du ressentiment envers Éric Bailly, est bien entouré. RMC Sport: Comment allez-vous, quelle douleur ressentez-vous encore aujourd'hui? Almike Moussa N'Daye: Tout d'abord, merci de m'avoir donné le sol. En considérant mes blessures, ils sont toujours animés à ce jour, surtout dans le foie et la côte.soutien à ceux qui m'entourent. Êtes-vous toujours traumatisé par le choc ou le moral reste bon? Le choc et les minutes qui ont suivi étaient traumatisants, c'est vrai. Les jours suivants essayaient également moralement. C'était un match et une saison importants dans ma carrière, avec des problèmes substantiels. Je sais que plusieurs clubs professionnels me suivent et que cette blessure pourrait être unobstacle à mes ambitions. Ce match était l'occasion idéale pour montrer mes qualités et cette blessure très tôt dans le match m'en a empêché. C'est le plus difficile pour moi: être loin du terrain.Je manque le football. Savez-vous combien de temps vous risquez d'être privé de football? Non, il est encore trop tôt pour décider.J'ai eu 30 jours d'ITT à la suite mes blessures foie, reins et côtes. Pour le moment, je n'ai pas pris aucune activité physique.Récupération pas avant deux à trois mois, mais cela dépendra l'évolution de mon état santé. C'est le plus difficile pour moi: être loin du terrain sans savoir quand je peux reprendre, j'espère revenir rapidement parce que je manqueFootball. Quels souvenirs avez-vous avec un choc avec Éric Bailly et des moments qui ont suivi? Je me souviens qu'Eric Bailly hésite à attaquer le ballon. Alors je profite de l'occasion pour accélérer et je pense que cela l'a surpris, donc il s'est retrouvé en retard et a engagé cette faute. J'ai alors ressenti une énorme douleur dans la poitrine. J'ai vomi directement sur leterre.J'ai compris instantanément que je ne pouvais pas continuer le match. Ensuite, j'ai été évacué sur une civière, en attendant les pompiers qui ont pris la décision de me transporter à l'hôpital Martigues. C'est pendant ce transfert à l'hôpital que j'ai réalisé leGravité des blessures et des conséquences pour ma saison. Un grand sentiment de tristesse et d'incertitude m'a envahi. Pour calmer les douleurs, les médecins m'ont administré de la morphine. Ensuite, après les premiers soins à l'hôpital Martigues, il a été décidé me transférer au service réanimation deL'hôpital nord Marseille pour plus surveillance et contrôle. Je ne veu
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