Les poids lourds de la diplomatie internationale sont à Genève pour tenter de faire aboutir les discussions sur le nucléaire iranien. Le secrétaire d’Etat américain John Kerry est arrivé à Genève ce matin. Ses homologues français, britannique, allemand et chinois sont eux aussi de la partie, sans oublier la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton ainsi que Sergueï Lavrov.
Le ministres russe des Affaire étrangères s’est invité dès hier à Genève. Il affirmait ce matin qu’une “vrai chance d’accord” existe. Optimisme également du côté de Téhéran. “Deux ou trois points de divergences persistent, mais les deux parties se sont rapprochées d’un accord”, a ainsi déclaré le chef des négociateurs iraniens.
A Genève, c’est un accord d‘étape qui est visé. Il s’agirait de limiter le programme nucléaire de la République islamique en échange d’un allègement des sanctions internationales.
La présence des chefs des diplomaties à Genève fait monter l’espoir que les quatre jours d’intenses négociations vont conduire à un accord. Mais il ne faut pas oublier que tout accord conclu à ce stade ne servirait que de base à de nouvelles discussions sur un accord global.
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