L’ancien président de la République a stigmatisé lors d'un meeting mercredi "tyrannie des minorités qui fait chaque jour davantage reculer la République", visant pêle-mêle les lycéens, les "zadistes", ceux qui bloquent les raffineries ou encore les casseurs devant lesquels. "C'est la minorité qui aujourd'hui décide de ce qui convient de dire, et pire, de ce qu'il convient de penser. Le politiquement correct, c'est la police de la pensée exercée par ceux qui sont minoritaires dans le pays mais majoritaires dans une partie des élites", a lancé le vrai-faux candidat à la primaire de la droite pour 2017
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