Najat Vallaud-Belka­cem à la tête du PS : elle pose ses condi­tions et demande une rému­né­ra­tion

par Ça Zap - Zapping TV

Najat Vallaud-Belka­cem à la tête du PS : elle pose ses condi­tions et demande une rému­né­ra­tion. Selon le jour­nal Le Figaro, Najat Vallaud-Belka­cem a reçu mardi 21 novembre un petit groupe de socia­listes chez elle pour discu­ter de son éven­tuelle candi­da­ture au poste de première secré­taire du Parti socia­liste. L'ancienne ministre de l'éduca­tion natio­nale a demandé, entre autres, à être rému­né­rée. Najat Vallaud-Belka­cem revient sur la scène poli­tique plus tôt qu'on aurait pu le penser. Après avoir été défaite aux élec­tions légis­la­tives en juin dernier, l'ancienne ministre de l'éduca­tion natio­nale pour­rait bien­tôt être la première secré­taire du Parti socia­liste selon le jour­nal Le Figaro. Une fonc­tion pour laquelle elle voudrait être rému­né­rée. Selon le quoti­dien, le groupe des « quadras », une quin­zaine de ses cama­rades du quinquen­nat de François Hollande, ont voulu la convaincre de prendre la tête du parti lors d'un dîner qui s'est tenu mardi 21 novembre, au domi­cile pari­sien de l'ex-ministre. Puis, en décembre prochain, ce groupe des « quadras » de la gauche discu­te­ront des moda­li­tés de cette éven­tuelle candi­da­ture. Et Najat Vallaud-Belka­cem a déjà fait quelques propo­si­tions sur son éven­tuel statut : elle voudrait que le poste de première secré­taire soit rému­néré et qu'elle soit en tête de liste du parti pour les prochaines élec­tions euro­péennes. Derniè­re­ment, Paris Match a annoncé que l'épouse de Boris Vallaud travaillait sur le lance­ment de sa maison d'édition. Il semble donc qu'elle ait aussi décidé de parti­ci­per à la refon­da­tion du parti socia­liste. Une bonne nouvelle pour son époux Boris Vallaud qui a du mal à se remettre de l'échec de l'ancienne ministre aux élec­tions légis­la­tives face à Bruno Bonnell. En tant que mari, il a été très touché par ce qu'a enduré sa femme pendant le quinquen­nat de François Hollande. Notam­ment, lorsqu'elle a reçu des menaces de mort et a subi la polé­mique sur la double natio­na­lité après les atten­tats du 13 novembre à Paris.

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