Nadine Morano insulte l'équipe d'Action discrète - ZAPPING ACTU DU 12/01/2017
par Ça Zap - Zapping TV
Entre Nadine Morano et les médias, c'est tout ou rien. Soit l'ancienne ministre joue volontiers le jeu et s'amuse avec les journalistes, soit elle les envoie paître... Avec les trois protagonistes de Canal Bus, la pastille humoristique diffusée chaque soir dans Le Grand Journal de Canal+, ce fut la seconde option ! Dans la séquence diffusée mercredi 11 janvier sur la chaîne cryptée, Sébastien Thoen et ses camarades sont partis à la rencontre de Nadine Morano alors qu'elle s'apprêtait à prendre un train. Se faisant passer pour des fans de l'ancienne conseillère régionale de Lorraine, ils l'ont pourchassée à travers la gare en chantant ses louanges. "Nadine, c'est ton comité de soutien, La quiche lorraine !", ont-ils d'abord lancé en lui courant après sur le quai. "On n'a pas envie que tu arrêtes la politique, on a fait passer une pétition (...) On les aime tes tweets ravageurs, on les aime tes déclarations à l'emporte-pièce", lui ont juré ses faux admirateurs, avant de scander son nom en chanson. "Allez-vous faire foutre !" "Vous pouvez me dire qui vous êtes ?", a d'abord cherché à savoir l'intéressée. Mais ce petit jeu a eu vite fait de l'agacer..."Ca suffit ! Allez vous faire foutre !", a-t-elle fini par lancer aux trois humoristes, qui continuaient de lui courir après. C'est le Zapping Actu ! «Taisez-vous, taisez-vous», a-t-il répété. Donald Trump a refusé, jeudi lors de sa conférence de presse à New York, de répondre à la question posée par Jim Acosta, journaliste de CNN qui couvre la Maison Blanche. Le président élu a mis en cause la chaîne d'information, qui a réalisé des sujets à propos du document publié en intégralité par BuzzFeed, dans lequel un ancien agent britannique assure que la Russie détient des informations compromettantes pour faire chanter Donald Trump. Le milliardaire, qui prendra ses fonctions le 20 janvier prochain, a dénoncé de «fausses informations» -CNN avait bien précisé que les éléments contenus dans les notes n'étaient pas vérifiées, mais considérés tellement graves par les renseignements qu'ils les ont transmis au président élu et à Barack Obama.
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