Municipales à Paris : Quand Benjamin Griveaux qualifie d'« abrutis » ses anciens rivaux LREM

par Kangai News

Benjamin Griveaux a qualifié d'« abrutis » ses rivaux pour l'investiture La République en marche aux municipales à Paris, parmi d'autres propos peu amènes rapportés, mercredi 17 juillet, dans la presse. Une fuite de « conversation privée » aussitôt déplorée par l'entourage du candidat. Voilà des révélations dont se serait sans doute bien passé Benjamin Griveaux à moins de dix mois des municipales. D'après Le Point, le candidat investi par La République en marche (LREM) dans la course à la mairie de Paris a tenu des propos peu amènes à l'égard de ses anciens riveaux marcheurs. « Il y a un abruti chaque jour qui dit qu'il veut être maire de Paris », (Hugues) « Renson c'est un fils de p..., on le sait depuis le premier jour. Mounir (Mahjoubi) ... bon... no comment » : l'hebdomadaire publie un florilège de propos que le candidat aurait tenus il y a quelques semaines, sans préciser le contexte ni les interlocuteurs. Finaliste malheureux dans la course à l'investiture, Cédric Villani est également étrillé selon ces propos rapportés: « Cédric, il n'a pas les épaules pour encaisser une campagne de cette nature. Il ne verra pas venir les balles, il va se faire désosser ! » Alors que la presse disait le chef de l'État attentif à la campagne du médaillé Fields, Benjamin Griveaux aurait assuré, toujours selon Le Point, qu'« Emmanuel [Macron] (lui) envoie des SMS en disant : 'Cédric n'a pas compris ce que je lui ai dit' ».

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