Motion de censure. E. Philippe, 1er ministre : "C'est l'affaire de fautes individuelles, de compromissions insidieuses et de petits arrangements entre un chargé de mission et des policiers [...]. C'est inacceptable. Mais ce qui devait être fait l'a été."
par franceinfo
Motion de censure. Édouard Philippe, Premier ministre : "C'est l'affaire de fautes individuelles, de compromissions insidieuses et de petits arrangements entre un chargé de mission et des policiers affectés à la préfecture de police de Paris. C'est inacceptable. Mais ce qui devait être fait l'a été."Le 31 juillet 2018https://bit.ly/2mVCKFj
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