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Mohamed Kacimi : "Les islamistes se sont toujours tenus à l'écart des grands mouvements populaires qui ont agité le monde arabe ces dernières années, et ils sont arrivés toujours à la dernière minute pour rafler la mise"

par franceinter

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Mohamed Kacimi, écrivain et dramaturge algérien, est l'invité d'Alexandra Bensaid à 7h50. Plus d'info : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-04-mars-2019

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Marie-France Etchegoin : "Ce qui nous a surpris, c'est la façon dont Raoult a construit son parcours et sa légende. Une des scènes originelles qu'il nous a raconté, c'est quand à 14 ans, on lui a dit qu'il avait 180 de QI."
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Marie-France Etchegoin : "Il est un pied dedans, un pied dehors. C'est aussi cela qui plait. Il a très bien compris comment fonctionnait le système, il a compris que pour être reconnu il fallait faire des publications."
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Marie-France Etchegoin : "Didier Raoult a eu le concours de l'État pour créer son IHU, l'infectiopôle français. Mais aucun ministre n'est venu à l'inauguration de son institut."
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Ariane Chemin : "Les chefs d'entreprise ne juraient que par Didier Raoult, parce qu'il y avait ceux qui voulaient que l'économie redémarre. Tout le monde veut croire à la chloroquine, à ce moment-là."
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Ariane Chemin : "On a voulu revenir sur un moment assez unique qu'a vécu la France, la rencontre entre un pays désorienté qui se cherchait un sauveur et un homme qui se disait providentiel."
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Charlotte Rampling et Jonathan Nossiter : "On peut, en toutes circonstances, garder la joie"
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Jean Rottner : "Ça fait quatre semaines que dans l’Est de la France nous subissons cette épidémie"
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Akhenaton : "Une société qui s'effondre commence toujours par voir sa culture s'effondrer. La culture privée est en train de s'effondrer."
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Akhenaton : "Ma mère était une militante, au Parti communiste, à la CGT, j'ai commencé très jeune à aller dans les défilés. Dans sa manière de m'élever, dans les musiques qu'elle me faisait écouter, ça a infusé, ça a donné un certain goût à mon rap."
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Akhenaton : "Le rap n'est pas toujours engagé. Il peut aussi être festif, il l'était à ses débuts dans les années 70, il est devenu engagé dans les années 80. C'est toujours la résultante d'un contexte politique. Les années Reagan ont politisé le rap."

Peine maximale de 20 ans requise contre Dominique Pelicot

25 novembre 2024 - leparisien

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